Lesétudiants réclament l’accès au dortoir des filles. Si le mouvement éclate ce jour-là, le feu couve depuis plusieurs mois à la fac de Nanterre. Les étudiants réclament un droit de visite dans les dortoirs des filles de la résidence universitaire. « Tout ça, c’est parti d’une affaire banale », rappelle le sociologue Michel Fize. 00 Les plantes du désespoir 00. Le triomphe de Skeletor 00. Au secours de Skeletor 00. L'ombre de Skeletor 00. Chasse à l'homme 00. L'ile de la peur 00. Le plus grand spectacle d'Eternia 00. Le secret du Château des Ombres 00. La rose qui naquit de larmes 00. Ici et là, des Skeletor par milliers ! 00. Les visiteurs de la Terre 00. Perte de Lesmaîtres de l'ombre 1989 Stream Complet VF Film Français Au Nouveau Mexique, le très secret Manhattan Project vise à construire la première bombe atomique, sous la direction de Robert Oppenheimer. LesMédicis : les Maîtres de Florence. Nombre total de saisons: 3 Nombre total d’épisodes: 24 Vue d’ensemble: La mort du patriarche est un coup terrible pour le clan Médicis. Lorsque son héritier et successeur, Cosimo, découvre que son père a été empoisonné, il décide de garder l’information pour lui et charge son fidèle ami Marco Bello de remonter la piste de VFLivres de base Manuel des Joueurs(3.5) Guide du Maître(3.5) Manuel des Monstres(3.5) Suppléments sur les classes Codex Profane Codex Aventureux Codex Martial Codex Divin Grand Manuel des Psioniques D'Ombre et de Lumière Par l'Encre et le Sang Les Maîtres de la Nature De Chair et d'Acier Les Gardiens de la foie Suppléments sur les races LOmbre du mal ou Le corbeau, au Québec, (The Raven) est un film hongro-hispano-américain réalisé par James McTeigue, sorti en 2012.. Il s'agit de l'adaptation de l'existence d'Edgar Allan Poe et de son poème Le Corbeau (1845). Synopsis. Au XIX e siècle, à Baltimore, Edgar Allan Poe n'aurait jamais imaginé qu'un de ses « admirateurs » serait assez fou pour recréer les WaFwe. Par le pouvoir du crâne ancestral ! Netflix vient de dévoiler le teaser de la série animée Les Maîtres de l’univers Révélation » créée par Kevin Smith. Teaser officiel VF L’épopée légendaire des années 1980 continue et reprend là où nos héros l’ont laissée il y a tant d’années. Cette nouvelle adaptation fait suite à la série » Les Maîtres de l’Univers » créée en 1983 et produite par Filmation. Elle a été diffusée en France à partir du 6 janvier 1984 sur Antenne 2 dans l’émission Récré A2. Présentation Après une bataille épique et destructrice entre Musclor et Skeletor, les gardiens du crâne ancestral sont partis chacun dans une direction différente. Mais, quand le royaume d’Eternia est fracturé, Teela doit reformer la bande malgré de nombreux secrets et désaccords qui les divisent. Musclor et Cringer son tigre de combat, son fidèle magicien Orko, le Maître d’arme et Tila la capitaine de la garde royale d’Eternia vont à nouveau devoir s’unir pour sauver l’univers. Ensemble, ils luttent contre les forces du mal et le terrifiant sorcier Skeletor et son visage de squelettte. Le pire ennemi de Musclor a toujours la même et seule obsession, celle de prendre le Château des ombres afin de dominer l’univers. La série sera divisée en deux parties, dont la première sera diffusée fin juillet. En plus de la série animée, Kevin Smith son producteur jouera dans un after-show intitulé Revelations The Masters of the Universe Revelation Aftershow. On y prévoit des apparitions de membres du casting comme Mark Hamill, Sarah Michelle Gellar, Chris Wood et Alicia Silverstone, entre Maîtres De L’univers Révélation – Partie 1 le 23 juillet, seulement sur par Mattel Television et Powerhouse Animation Studios. Le générique de la série animée de 1983 Podcast Les Maîtres de l'Univers LA BELLE HISTOIRE DES GÉNÉRIQUES TÉLÉécouter Titre original Masters of Horror Série d'anthologie créée par Mick Garris Avec des interprètes différents pour chaque épisode… Première diffusion en France 2006 sur Kiosque puis Canal+ Format 55 minutes en moyenne par épisode 13 épisodes pour la saison 1 Site officiel Masters of Horror Synopsis "Masters of Horror" tient davantage de la collection de films que de la sempiternelle série télévisée. Réalisé par de grands et de moins grands noms du cinéma fantastico-horrifique, chaque épisode est totalement indépendant des autres et peut être vue comme une œuvre singulière. Les réalisateurs devaient simplement se conformer aux règles suivantes 10 jours de tournage, budget identique pour tous, durée d’une heure pour chaque épisode, aucune limite dans la violence graphique, seule la bestialité étant prohibée. Seul Takashi Miike a enfreint cette dernière règle, et son "Imprint" n’a d’ailleurs pas été diffusé aux States par la chaîne Showtime. En France, les épisodes ont été diffusés sur Canal + et viennent d’être édités en DVD dans de superbes éditions. Voici un décryptage critique de chacun des films, la palme revenant à ceux réalisés par John Carpenter et John McNaughton. A noter que la diffusion de la saison 2 a débuté aux Etats-Unis, et sans doute bientôt en France. Critique Sombre et délicieux Episode 1 "La Survivante" "Incident On And Off A Mountain Road", réalisé par Don Coscarelli Avec John DeSantis, Bree Turner, Angus Scrimm, Ethan Embry Note 1 Un épisode qui rappelle fatalement "Massacre à la tronçonneuse" une femme poursuivie par un maniaque taxidermiste au visage affreux ici Moonface remplace Leatherface. L’originalité consiste à faire de la femme non pas une victime mais une guerrière qui loin de subir répond coup pour coup aux attaques dont elle est la victime. Et des flashbacks de nous expliquer comment le mari de la belle l’a enseigné à un self-défense plutôt musclé. Si le traitement visuel de l’affrontement ne démérite pas, l’ensemble sent quand même le survival déjà vu. D’autant que la lourdeur et le schématisme du scénario, ainsi que son assertion limite de l’autodéfense le rendent même parfois franchement désagréable. Episode 2 "Le Cauchemar de la sorcière" "Dream in the Witch-House", réalisé par Stuart Gordon Avec Ezra Godden, Campbell Lane, Jay Brazeau, Chelah Horsdal Note 3 Stuart Gordon adapte une nouvelle fois Lovecraft dans cette classique histoire de maison hantée. Un jeune étudiant vient y louer une chambre, devenant la proie d’une sorcière et de son rat au visage humain, ses derniers tentant de l’entraîner dans un rituel pour le moins morbide. Un épisode soigné dont l’histoire s’accommode impeccablement du format moyen-métrage. Atmosphère ésotérique, personnages mythologiques, gore tout y est. Du travail à l’ancienne, presque trop bien fait, qui ne surprendra pas outre mesure les aficionados de Lovecraft. Episode 3 "La Danse des morts" "Dance of the Dead", realisé par Tobe Hooper Avec Jessica Lowndes, Robert Englund, Jonathan Tucker Note 4 Après un holocauste un nuage toxique se répandant comme la peste, un monde post-apocalyptique décadent se dessine… Et Tobe Hooper de nous y faire basculer sans lésiner sur les moyens. Il traite ici de thèmes hardcore trafic de sang, de cadavres, anarchie totale, destruction de la cellule familiale… avec une agressivité et une brutalité bien senties. Montage au cordeau, images limite subliminales, couleurs saturées, décors aux lignes incertaines, tout y est. Un épisode au final délicieusement amoral, politiquement incorrect, tout en gardant une bizarre et incongrue énergie adolescente. Bref une réussite, avec en prime un Robert Englund Freddy ! en grande forme. Episode 4 "Jenifer", réalisé par Dario Argento Avec Steven Weber, Carrie Anne Fleming Note 3 Frank sauve Jenifer de la mort et recueille cette femme au corps de déesse et au visage de démon… Soit un croisement étrange entre thriller érotique et horreur sanguinolente, entre Jenifer l’amante dévouée et Jenifer la cannibale. Une belle schizophrénie dans laquelle se perdent les hommes, dans un cycle infernal de fascination/répulsion amené à se répéter. Malgré sa musique démodée et son déroulement souvent prévisible, un objet étrange et envoûtant qui a la bonne idée de refuser toute psychologie, d’assumer le gore et de se partager adroitement entre la pure bestialité et la poésie morbide. L’ombre de Dellamorte Dellamore pèse néanmoins sur l’esthétique trop téléfilm du métrage… Episode 5 "Chocolat" "Chocolate", réalisé par Mick Garris Avec Henry Thomas Note 0 Mick Garris est un cas étrange capable du meilleur créer ces "Masters of Horror", comme du pire son adaptation télévisuelle de "Shining" pour ne citer qu’elle. Cet épisode conforte dans l’idée qu’il est meilleur producteur que cinéaste. Son "Chocolate" est un total hors-sujet, une variation creuse et en rien horrifique sur le thème de l’amour perdu. Le film ne dépasse jamais son pitch de base un homme voit, ressent et entend tout ce que vit une belle inconnue et se perd dans les méandres de l’amour fantasmatique d’un homme que peine à incarner le falot Henry Thomas le petit Elliott de " !. Lymphatique, cousu de fil blanc la mauvaise idée du flashback en continu, avare en sang frais, rien qui ne justifie une seconde le label "Master of Horror". Episode 6 "Vote ou crève" "Homecoming", réalisé par Joe Dante Avec Jon Tenney, Thea Gill, Wanda Cannon, Terry David Mulligan , Robert Picardo Note 3 Des soldats morts au combat reviennent sur terre… pour voter ! Tel est l’argument éminemment corrosif de cet épisode qui permet de retrouver le trop rare géniteur des "Gremlins". S’il n’a rien perdu de son sens de la dérision et de la subversion, Joe Dante se laisse en revanche aller parfois à une sensiblerie de mauvais alois, là où la sécheresse d’un Romero ou d’un Tourneur auxquels il rend explicitement hommage aurait été plus appropriée. Dante enfonce des portes ouvertes une guerre basée sur un mensonge, des élections truquées…, critique sans originalité l’administration Bush, mais le fait bien. Quelques fulgurances cyniques et un final joyeusement anarchiste emportent ainsi l’adhésion. Soit un épisode inachevé, démonstratif, plein de grosses ficelles mais indéniablement sympathique. Episode 7 "La belle est la bête" "Deer Woman", réalisé par John Landis Avec Brian Benben, Anthony Griffith, Cinthia Moura Note 3 Une femme-cerf séduit des hommes avant de les massacrer à coups de sabots. Un flic rangé des voitures mène l’enquête. Landis reprend ce qui a fait le succès de son "Loup-garou de Londres" un tueur mi-humain mi-animal, de l’humour et un style très particulier où le pastiche le dispute au fantastique le plus respectueux des règles du genre. Soit un épisode drôle avec notamment la vision désopilante d’un homme à tête de cerf, brillamment interprété par un casting très pince sans rire, sans prétention mais totalement décomplexé. L’un des moins Horror de la série des Masters mais amusant d’un bout à l’autre. Donc joie. Episode 8 "La Fin absolue du monde" "Cigarette Burns", réalisé par John Carpenter Avec Norman Reedus, Udo Kier Note 5 John Carpenter reprend ici d’une certaine façon son Antre de la folie, en proposant une variation où l’on recherche un cinéaste et non un écrivain, où c’est un film et non un livre qui rend fou. Car cet épisode raconte comment un jeune exploitant de cinéma va partir à la recherche de La Fin absolue du monde, film ayant la réputation de rendre tarés tous ceux qui s’en approchent ou qui le visionnent, pour le compte d’un richard le cultissime Udo Kier complètement barré. Entre polar ésotérique, grand-guignol et mythologie un film produit par le diable himself dans lequel un véritable ange apparaît !, Carpenter érige avec sa précision de vieux briscard et sa parfaite maîtrise de l’art cinématographique ah ! si tous les cinéastes cadraient ainsi au millimètre… un conte hanté par la mort et les figures de l’au-delà. Et comme à chaque fois qu’il confronte la mythologie fantastico-horrifique voir "Le Prince des ténèbres", "L’Antre de la folie", "The Fog", etc. à un climat extrêmement réaliste, Big John crée cette inimitable tension qui emporte l’adhésion. Le Master c’est lui ! Episode 9 "La Cave" "Fair Haired Child" réalisé par William Malone Avec Lori Petty Note 2 Dans cette histoire vaguement faustienne, un couple sacrifie des vierges pour nourrir un monstre végétal, en échange de quoi leur fils décédé sera ressuscité. Malone fait du fantastique à l’ancienne, privilégiant l’ambiance pour une trame à mi-chemin entre le slasher et le old school gothique. Si dans sa première moitié cet épisode convainc par son climat aussi éthéré que nébuleux, la suite plus convenue déçoit. Et au final subsiste le sentiment que le film n’assume pas le fair haired child » qui lui donne son titre, délivrant des scènes aux principes formels archi rebattus. Et ce n’est pas la mince et sans surprise pirouette finale qui change la donne… Episode 10 "Liaison bestiale" "Sick Girl" réalisé par Lucky McKee Avec Angela Bettis Note 3 Le réalisateur de "May" livre un épisode étrange prenant pied sur des archétypes éculés mythe de la mante religieuse, contamination et mutation ici c’est un mystérieux insecte carnivore qui en les piquant transforme les humains en monstres. Sur une trame faussement classique, McKee installe une atmosphère délétère et saphique, portée par deux personnages féminins troublants. S’il n’échappe pas à certaines figures imposées et n’apporte pas grand-chose de plus au propos du cinéaste par rapport à May, le film conserve jusqu’au bout son aura subtilement torve et ambiguë. Reste un dénouement trop expéditif qui disperse l’atmosphère distillée auparavant, mais n’entache pas la bonne tenue de cet épisode. Episode 11 "Serial auto-stoppeur" "Pick Me Up" réalisé par Larry Cohen Avec Warren Kole, Michael Moriarty Note 0 Scripte improbable, voire crétin deux serial-killers se disputant la même proie sur une route des States, mise en scène pataude du has-been Larry Cohen… Du B de compétition aussi creux que visuellement fadasse. Les partitions surfaites des acteurs n’arrangent rien dans ce slasher chiant et mou du gland, l’ensemble confinant à la théâtralité avec ce scripte démonstratif et définitivement bêta. Episode 12 "Les Amants d'outre-tombe" "Haeckel's Tale", réalisé par John McNaughton Avec Steve Bacic, Micki Maunsell, Gerard Plunkett Note 5 Dans un univers évoquant immanquablement les grands noms de l’épouvante Poe, Lovecraft et Shelley sont cités, le scénario est adapté d’une nouvelle de Clive Barker, produit par George Romero, ce conte nous narre le parcours d’un jeune étudiant en science obsédé par la résurrection des morts, qui va vivre une expérience au-delà de ce qu’il avait pu imaginer. Difficile d’en dire plus tant ce segment des Masters est riche en suspense, dans une ambiance de sorcellerie aussi immersive qu’inquiétante. D’autant que McNaughton "Sexcrimes", "Henry, portrait d’un serial killer" fait montre d’une efficacité à toute épreuve dans cette fiction d’impeccable facture superbe photo, interprétation sans failles, rythme envoûtant. Une élégance stylistique qui tranche au final sur la transgression du sujet une histoire de nécrophilie aussi tordue qu’inattendue. L’exploit du film ? Se balader pendant les dix dernières minutes à l’extrême limite du grand-guignol sans jamais y tomber, l’ironie l’emportant sur la farce, les images habitées et troublantes sur les situations abracadabrantes. On se lève et on applaudit ! Episode 13 "La Maison des sévices" "Imprint" réalisé par Takashi Miike Avec Billy Drago, Yūki Kudō, Toshie Negishi Note 0 Le plus provocateur et dérangeant des cinéastes japonais propose l’épisode le plus exotique » de cette saison, d’une part car situé au Japon, mais aussi par la controverse qu’il suscite. Censuré par Showtime la chaîne diffusant les Masters aux USA pour bestialité, ce métrage va plus loin mais pas forcément dans le bon sens que tous ceux de cette fournée des Masters. Un américain y part à la recherche de sa promise, prostituée japonaise, et apprend par une de ses collègues qu’elle est morte dans d’étranges circonstances. Partant de ce postulat simple, Miike sombre assez vite dans son grand travers la violence gratuite. Entre scène de torture insoutenables, avortements déviants et gémellité nauséeuse, le film n’épargne pas le spectateur. Qui plus est, la lenteur du récit accentue par contrepoint cette cruauté graphique en l’installant dans la durée, de façon à ce qu’il n’y est point d’échappatoire. S’il a le mérite de remuer et de proposer quelques images fortes, cet épisode en oublie l’essentiel raconter quelque chose et faire sens. Saison 1 — Les grands affrontements dans le monde des ninjas appartiennent désormais au passé. Boruto, le fils du 7e Hokage, vit mal d'être dans l'ombre de son éminent paternel. Il ne se doute pas qu'une nouvelle menace plane sur eux...ÉpisodesBoruto • S01 15 secLes grands affrontements dans le monde des ninjas appartiennent désormais au passé. Boruto, le fils du 7e Hokage, vit mal d'être dans l'ombre de son éminent paternel. Il ne se doute pas qu'une nouvelle menace plane sur eux...DiffusionsLun. 29 août - 06 h Mar. 30 août - 06 h Mer. 31 août - 06 h Jeu. 1 septembre - 06 h Ven. 2 septembre - 06 h Lun. 5 septembre - 06 h InfosAnnée de production 2016Pays d’origine JaponNombre d’épisodes prévus 120Titres similaires Hiver 1943 De Gaulle envoie secrètement ses deux maîtres espions dans le Paris occupé. Il confie au colonel Passy et à Pierre Brossolette, numéros 1 et 2 du BCRA, ancêtre de la DGSE, la mission cruciale d'unifier les réseaux de résistants de la zone Nord. Farouches et endurcis par trois années d'Occupation, les soldats de l'ombre seront placés sous l'autorité du général. Cette mission, historique, est militaire il faut préparer le Débarquement. Elle est aussi politique De Gaulle doit prouver sa légitimité de chef de la Résistance auprès de Churchill et Roosevelt. Dans ce documentaire-fiction, tous les protagonistes sont incarnés par des comédiens Le temps passe trop vite ! Même pour les elfes noires que l’on nomme Drow et qui peuplent cette partie de l’Ombreterre, le temps passe trop vite ! En l’an de grâce 2016, cet endroit ne s’appelait qu’Underdark. Dès lors, les Tyrants ne parlaient pas encore notre langue… Et pourtant, nous avons gardé traces de l’excellence de leurs tyrannies... Tyrannies car il aura fallu attendre 5 ans pour qu'elle arrive, cette VF. Oui, nous sommes bien dans Dungeons & Dragons ; Oui, il s’agit bien d’une production Wizard of the Coast ; Et enfin oui, c’est bien à travers Gale Force Nine que nous y avons accès depuis quelques mois dans la langue commune de notre terre pour cette nouvelle édition. Les Tyrans de l’Ombreterre, il ne faut pas vous le cacher, c’est juste un excellent jeu de construction de paquet c’est ça... un deckbuilding » avec concrétisation des actions sur un plateau de jeu. Mais il ne s’arrête pas là C’est aussi un jeu juste bourré d’interactions où la thématique permet de lâcher les coups autour de la table Les complots vont bons trains, les trahisons se font aussi facilement que les alliances et si ça ne suffisait pas, les différents peuples de la boite changeront la donne de chacune de vos parties. Et tout ceci ne vous suffit pas encore ? Hmm, vous êtes durs en affaire… Très bien, j’aime ça ! Polissez vos pièces, j’aime ce qui brille… Dans les ténèbres, ça réfléchit toujours le peu de lumière ! Vous voilà donc à la tête d’un des clans souterrains de ce peuple dont le nom, par contraction, vient de traître » en elfique. Souvent adorateurs de Lloth, le sang ne vous fait pas peur, bien au contraire, mais vous savez apprécier de belles et mortelles manigances tout en préservant les apparences. Pour tisser votre toile oui, avec les drows, les araignées ne sont jamais loins vous commencerez avec quelques gardes et nobles de votre famille. Au centre de la table, une carte de votre futur royaume. Pour la partie classique d’un deckbuilding, vous jouerez des cartes depuis votre main et gèrerez deux monnaies différentes - L’influence vous permettra de recruter de nouveaux membres à votre clan en achetant dans une rivière où le paquet est constitué en début de partie de deux demi-paquets de 40 cartes, sélectionnés parmi les 6 proposés soit 15 configurations différentes - Le pouvoir vous permet, de son côté, de gérer vos troupes, vos assassins et espions. Oui, parce qu'il faut savoir que tout cela se jouera à la réputation. Et avoir la majorité de troupes sur un lieu vous permettra d'en gagner les points de victoire... Et même d'en gagner plus si vous en avez le contrôle total. Du coup, à l'hallali ! D'autant que chaque troupe adverse éliminé, c'est 1 PV, alors pas de quartier ! Pour pouvoir déployer ses troupes, il faut être adjacent au lieu visé... Et là encore, les routes menant d'un point à l'autre serviront autant de moyen de vous y rendre que de "ralentisseur" aux velléités adverses. Deux éléments plus "politiques" viennent pimenter vos parties - D'une part les espions. Ils ne se posent pas sur un emplacement de troupe et viennent vous donner de la présence là où vous n'en aviez pas... Tout autant que gâcher le contrôle total de vos chers amis et néanmoins adversaires tordus... Sans oublier les nombreuses cartes qui permettent d'en tirer profit de façon encore plus fourbasse ! - D'autre part, la promotion de cartes à votre cénacle permet un autre double effet kisscool amies et amis quarantenaires, bonjour premièrement vous épurez votre paquet, deuxièmement, vous ne marquez pas les PVs "simples" de la carte, mais les PVs "améliorés"... Bon, bien sûr, ça veut dire aussi gérer le timing pour le faire, défaire quelques bonnes combos au bon moment ! Avec tout ça, et sous couvert que vous appréciez les jeux à interactions très fortes, voir à tendance "s'ils se mettent tous contre moi, j'suis foutu", croyez-le ou non, mais vous obtenez un excellent deckbuilding à la thématique complètement respecté avec une fluidité qui siérait fort bien à bien des jeux actuels inutilement boursouflés. Même si "l'histoire" peut se faire oublier, les personnages font ce qu'il semble vouloir faire Les assassins assassinent, les maîtres d'armes forment beaucoup de gardes ou font bien mal au combat, un membre du conseil ordonne et déplace des unités placés et offre des promotions, etc. Certes, in fine et dans le feu de l'action, on peut "se cantonner" à gérer les deux ressources et les "capas" mais l'ambiance autour de la table est clairement aux tractations, couinantes et chafouines à souhait sortez couvert, les enclumes vont pleuvoir comme les poignards à la nuit tombée..., et là, nous sommes clairement "elfes noirs" et dans l'Ombreterre ! Qui plus est, entre les Drows pour prendre les choses en main, les Dragons pour des puissants alliés, Les Elémentaires pour des combos-focus, Les Démons pour dévorer ses propres cartes et pourrir les paquets adverses à coups de Parias déments, les Aberrations pour réduire les mains adverses et les Morts-Vivants qui s'entredéchirent pour des effets déments, vous n'avez pas fini de jouer et rejouer les Faust en oreilles pointues à vous entredéchirer pour des cités aux noms imprononçables, ou presque ! ça, c'était avant... Le seul problème de cette édition est que, certes, elle inclue les deux decks à part lors de la première édition Aberration et Mort-Vivant mais "exit" les petits boucliers pour représenter nos gardes et les figurines d'espions et bonjour les tokens un peu grossier... Bon, allez, avouons qu'on s'y fait... Mais c'était quand même plus joli, plus vivant, plus... 3D... avant ! Bon, là, maintenant, c'est un peu plus... plat ! Mais ça vaut largement un Pour quelques infos de plus sur l'univers de Donjons et Dragons en jeu de plateau Vous avez certes Donjons & Dragons, le jeu de plateau proche d'Heroquest mais également D&D en grosses boites avec de l'exploration de "donjons" en mode porte-monstre-trésor dont pas moins de boites sont sorties Castle Ravenloft ; Wrath of Ashardalon ; The legend of Drizzt ; Tomb of Annihilation ; Temple of Elemental Evil ; Dungeon of the mad mage. Des lieux et montres mythiques, des cartes, jetons, trésors par paquets avec il faut l'admettre, des illustrations plus que minimalistes... Parfois absentes... où toutes les explorations sont changeantes à chaque partie... Et les monstres encore plus, surtout si vous y adjoignez les cartes et monstres de Dungeons Command qui, lui, était un jeu d'escarmouche plutôt pas mal. Du Heroscape existe aussi avec Battle for the Underdark ou du "à la sauce X-wing"qui, là encore, marchait quand même pas mal, avec Attack Wing ; du Betrayal à la mode Baldur's Gate l'horreur du jeu de base lui convenait quand même mieux ; du deckbuilding-fleuve avec Dragonfire et ses extensions à foison ; du Risk plus complexe avec Conquest of Nerath et enfin les autres grosses boites avec Assault of the Giants, et les excellents Vaults of the Dragon Sons of Anarchy à la mode medfan et Lords of Waterdeep et son immanquable extension... Et sur tout ça, dans la langue noble des trouvères... Peanuts ou presque ! Allez, ne gâchons notre plaisir, avec Les Tyrans de l'Ombreterre, il y a déjà du très bon, ne passez pas à côté !

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